Les 8 problématiques antiparasitaires auxquelles les syndics sont confrontés

Pour les syndics de copropriété, les problématiques antiparasitaires peuvent très vite dégrader les conditions de sécurité et d’hygiène des occupants jusqu’à provoquer des situations de crise grave. Parce que cohabiter en toute sérénité au sein d’ensembles immobiliers nécessite un minimum de rigueur et d’anticipation, NGAN Calvados dresse la liste des désagréments possibles et la manière d’y remédier.

Insectes rampants ou volants, rongeurs, mustélidés, insectes à larves xylophages, taupes : en quelques jours, l’irruption de ces nuisibles ou bioagresseurs dans le quotidien des résidents d’immeubles peut rendre la vie parfaitement insupportable en provoquant des problèmes d’hygiène, de sécurité ou encore de destruction de l’environnement ou du bâti.

Capables de rendre un logement insalubre en peu de temps dans les cas les plus extrêmes, certains insectes notamment doivent impérativement être combattus avant toute invasion de la copropriété.  Le saviez-vous ? Gestionnaire de copropriété, syndic professionnel ou bailleur, chaque entité gérant un bien immobilier a des devoirs en la matière.

Entre autres textes législatifs, le Règlement sanitaire départemental indique par exemple que « les propriétaires ou gérants doivent prendre toutes mesures pour éviter la pénétration des mouches et autres insectes, oiseaux, rongeurs et autres animaux, et faire procéder si nécessaire aux opérations de désinsectisation et de dératisation, en évitant toute contamination des denrées alimentaires. »

Alors, quels sont ces risques parasitaires à bien prendre en compte pour garantir un habitat sain et serein ?

1. Insectes rampants : les infestations d'insectes tels que les blattes, les fourmis, les puces ou les punaises de lit sont à combattre car elles peuvent affecter le confort des résidents.
   
   
2. Rongeurs : la présence de rats ou de souris dans les parties communes ou les espaces extérieurs représente un risque sanitaire et structurel majeur.
   
   
3. Insectes volants : l’invasion de mouches, moustiques ou guêpes peuvent perturber la tranquillité des résidents.
   
   
4. Nids d'insectes volants : l’installation de nids d'abeilles, de frelons ou de guêpes sur le bâtiment représente un risque évidant pour la sécurité des habitants.
   
   
5. Termites et autres parasites structurels : les dommages causés par des parasites tels que les termites, les capricornes ou les champignons lignivores menacent l'intégrité structurelle du bâtiment.
   
   
6. Dégradation des espaces verts : la présence de parasites nuisibles tels les taupes affecte les jardins et espaces verts et altère l'esthétique et la valeur du bien. C’est le cas également des chenilles processionnaires qui, en plus de l’impacte sanitaire en raison de leurs poils urticants, vont entrainer une défoliation des végétaux hôtes.
   
   
7. Gestion des déchets : les problèmes liés à la gestion des déchets peuvent attirer des parasites indésirables comme les blattes, les mouches, les surmulots. Tous sont vecteurs de nombreux pathogènes.
   
   
8. Réactions allergiques et sanitaires : les résidents peuvent être affectés par des réactions allergiques aux piqûres ou morsures d'insectes, pouvant entraîner des préoccupations sanitaires.

Garantir un environnement sain et sécurisé

En abordant ces problématiques de manière proactive, un syndic peut contribuer à assurer le bien-être des résidents et à préserver la qualité de vie au sein de la copropriété. C'est dans ce contexte que des services de lutte antiparasitaire peuvent être essentiels pour maintenir un environnement sain et sécurisé.

Pour protéger l’environnement de vos occupants, n’hésitez plus : NGAN Calvados, spécialiste de la lutte antiparasitaire (désinfection - désinsectisation – dératisation) à Caen et dans sa région fournit votre devis gratuit.



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